Pâcques ou Pâques
Moi aussi, Je suis narcissique.
Et Je sais que "Pâcques" s'écrit "Pâques".
En fait, au début, Je ne le savais pas.
Et après, le temps passant, croyez le ou non, Je me suis dit - orgueil mal placé -, que puisque Je l'avais écrit comme ça, une fois, J'allais l'écrire comme ça, toujours.
Ben oui.
Ma vie est un mélange scientifique de bêtises incontrôlées, certes, mais qui me font sourire, et de bêtises contrôlées, certes, mais qui me feront crever.
Comme ça, à terme, tout le monde sera content, finalement.
Et Je sais que "Pâcques" s'écrit "Pâques".
En fait, au début, Je ne le savais pas.
Et après, le temps passant, croyez le ou non, Je me suis dit - orgueil mal placé -, que puisque Je l'avais écrit comme ça, une fois, J'allais l'écrire comme ça, toujours.
Ben oui.
Ma vie est un mélange scientifique de bêtises incontrôlées, certes, mais qui me font sourire, et de bêtises contrôlées, certes, mais qui me feront crever.
Comme ça, à terme, tout le monde sera content, finalement.
posté par Le Taulier à 00:42
9 Comments:
Non pas que je sois d'accord, mais j'aime le côté insulaire de Pâcques. D'ailleurs si je m'étais faite colombine et l'avais découverte, je l'aurais écrit comme ça aussi. En fait non, il vaut mieux que Houellebecq l'ait possibilisée, et de toute manière, je ne l'aurais pas ainsi dé-pré-nommée.
Bref, puisque le monde n'a aucun sens, autant le considérer comme gratuit.
Tout neuf de pas qu'il soit.
Et hop, trois ans supplémentaires de musicothérapie pour Ma pomme.
Merci bien.
Sur ta dernière phrase, Je pense pouvoir tenir en circuit fermé, pendant un trimestre entier, basculant Mon corps recroquevillé d'avant en arrière, tout en annonant des "pas qu'il - pas - pas qu'il - qu'il - pas qu'il - pas - pas qu'il - qu'il" etc.
Du pakilpa - pakilkil, quoi. En boucle.
Merci bien.
Et puis ?
L'ire foetale submergée d'un "r" subversif.
"ParSss qu'îl(e)"
Pour-quoi pas à pas,
à quelque parsec de là (bas) ?
signé : the non-acid-anonymous (dans l'ordre, l'ode, l'iode... ou pas)
Wahou, vous maitrisez le rythme, les mecs... (exercice auquel je ne me risquerais pas pour cause d'incompétence notoire)
Ca sent le "slam sous acide" (TM), tout ça.
Ah la la... quand les "méchants drogués" (TM) se mettent à lire des livres, ça devient TOTALEMENT ingérable.
Mais bon, ça ne doit pas être des bouquins très catholiques, en tout cas.
Ni slam
Ni neo-beat
Ni-îl-isthme
désaffection dé(ré)génération-alizée
Acide ou maté ? Anti-sainte-éthique
Je ni(e)l'autre ne littéraire pas. PlAcide lecteur-femelle (MARELLE, Julio Cortazar pour la ritournelle)
Franswa, elle est retrouvée ?
Quoi ?
L-a-droguée
(scelle de ces misérables oeillades)
Et toc, une petite allusion à "Marelle", le meilleur livre dont vous êtes le héros du monde, sans doute.
Et toc, je te conseille aussi "Les astronautes de la cosmoroute", le meilleur moyen de faire une virée romantique (en fin de vie, certes) d'une aire d'autoroute à l'autre.
Un must, avec de vrais morceaux de photos et de dessins hippies dedans.
C'est aussi de Cortazar, d'ailleurs.
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